26 mars 2008

Sectateurs > V


Captés secrètement par des yeux de gorgone (restitution en désordre) :
Isa, Bruno, Doume, Mickaël.

23 mars 2008

La critique s'empare des Tours de Samarante > P

Dix jours.
Les premières critiques sont tombées sur Les Tours.
Extraits...

"Samarante, qui est ville, femme, mémoire est l'enjeu d'un conflit entre des forces obscures qui veulent maîtriser l'Avenir. Par son lyrisme et son ambition, voici un texte inspiré qui tranche sur la production courante. "
Philippe Curval, Le Magazine Littéraire, avril 2008
Voir la critique de Philippe Curval

"Proche de la trame de Comte Zéro de William Gibson, ce roman sort d'ailleurs des productions françaises habituelles par son côté anglo-saxon. (...) Les Tours de Samarante est l'une des lectures les plus marquantes de ce début d'année."

Oman
, Scifi-Universe

Voir la critique d'Oman

"Au prix de quelques trouvailles inspirées, d’un background sans faille et d’une sincérité dans l’écriture qui ressemble à de l’abnégation, on va se laisser emporter vers un climax endiablé."

Eric Holstein
, ActuSF

Voir la critique d'Eric Holstein

"Ville tentaculaire, plaines dévastées, maladie technovore, clonage généralisé et humanité dégénérée font du roman un habile mélange des genres, la fluidité stylistique renforçant encore l’intelligence du propos."

Pat
, Le Cafard cosmique

Voir la critique de Pat


"Riche, haletant..., on espère rapidement une suite de la même veine."
SDD
, Lotus Noir, mars 2008

"On est aspiré par l'intrigue, dans cette ville assiégée par une maladie des machines dont on ne sait presque rien. On s'immerge dans les luttes pour le pouvoir, dans le destin désincarné d'un gosse des rues, dans cette nymphe aux capacités étranges."
Yves Vilagines
, avis des lecteurs, Fnac.com

Merci !
Merci à ceux qui ont aimé ce récit, pour leur regard, leur émotion, leurs remarques et parfois, déjà, leur attente. Par ces mots, vous donnez à ce livre une chance extraordinaire : la chance d'être lu.

02 mars 2008

Dichtung > G

« Dichtung : mot vieux-haut-allemand, très antérieur à la théorie protohistorique des cordes, signifiant tout à la fois littérature, poésie, fiction, invention, affabulation, mensonge et plus précisément, selon un auteur antique oublié "monde fictif, élaboration d'un espace irréel aussi véridique que la réalité concrète, univers imaginaire, construit et clos sur lui-même, qui n'est pas l'opposé du monde sensible mais son condensé". »
extrait de :
La Manadologie
, Céline Minard, Editions MF coll. Frictions, sept. 2005.