08 juillet 2011

Treis, altitude zéro : critiques presse > P

Critiques parues dans la presse :

Libération, Frédérique Roussel, 19 mai 2011
"Même économie descriptive pour un monde pourtant palpable et poétique."

L'écran fantastique, Claude Ecken, juin 2011
Le livre du mois.
"Si on a toujours Gibson en tête, le rapprochement avec Dune est plus évident ici, pour la profondeur de la réflexion, pouvoir, religion, violence, magistralement traitée à travers un récit à la dimension mythique et une écriture dense pareillement parsemée d'aphorismes."

Le magazine littéraire, Philippe Curval, juin 2011
"On le devine, Treis, altitude zéro, est un roman dur, contraignant, qui demande au lecteur une attention de tous les instants pour accepter cet univers subliminal que Merjagnan construit avec patience, exigence. Car, mieux qu’un auteur de science-fiction désireux de nous enfermer dans une logique spéculative, il cherche, grâce à la réelle volupté que procure son écriture, à nous transmettre l’immatérielle sensation de basculement dans une création inconciliable avec notre pensée."

Treis, altitude zéro : chroniques réseau > P

Chroniques parues sur le réseau :

Scifi-Universe, Manu B., 27 février 2011
"Le post-cyberpunk renaît de ses cendres".

Le blog de Viinz, 4 avril 2011
"un univers splendide à fois dépaysant et étrangement familier"

Gromovar, 17 avril 2011
"Le dormeur doit se réveiller."

ActuSF, avril 2011
"Les lecteurs des Tours de Samarante retrouveront avec plaisir un langage familier"

Écolesjuives.fr, avril 2001
"un délice et une évasion totale".

Mes ailleurs, El Jc, 26 mai 2011
"La plume de l’auteur fait encore merveille. (...) Résolument personnelle, nerveuse, inspirée, poétique parfois, elle emporte et séduit, mais ne se livre pas sans quelques passes d’arme."

La grande bibliothèque d'Anudar, 5 juin 2011
"S'il fallait le chroniquer en une phrase, celui-là, ça serait par celle-ci : en voilà de la belle science-fiction."

Palabres éclectiques, 13 juin 2011
"on peut ajouter en guise de référence le Roger Zélazny de Seigneur de Lumière, mais avec un style empreint du (faux) détachement de Cordwainer Smith. Autant dire que c'est beau. Souvent cruel, mais beau."

Délices & Daubes, 24 juin 2011
"Monsieur Merjagnan ? Respect !"